Prochaine AG SUD Education 31-65:
mardi 12 février, 18h, local de Babinet
1) Les lycées disent NON aux réformes Blanquer !!
La réforme du lycée général et technologique et du baccalauréat est actuellement mise en œuvre dans les lycées. SUD éducation a voté contre la réforme du baccalauréat et du lycée général et technologique en Conseil Supérieur de l’Education. À l’heure où la réforme se met concrètement en place, il est temps de se mobiliser !
Dans le 31, treize enseignant.es du lycée Déodat de Severac (Toulouse) ont démissionné de leur fonction de professeur principal fin janvier. Leur mouvement a été soutenu par une pétition signée par une centaine de professeurs du lycée qui s’engagent à refuser la fonction à la rentrée 2019.
Hier, mercredi 6 février, une action démission collective a encore eu lieu au rectorat de Toulouse. En effet, entre 80 et 100 professeurs principaux ont fait savoir à l’administration qu’ils ne veulent plus pour cette année assurer les missions de prof principaux, ainsi que pour l’année prochaine. Ces démissions ont également été accompagnées par des lettres de soutien. Lycées concernés : Berthelot (Toulouse), Victor Hugo ( Colomiers), Matisse (Cugnaux), Victor Hugo (Gaillac), Déodat de Severac (Toulouse) et Stéphane Hessel (Toulouse). Un rassemblement, où la presse a été conviée et une demande d’audience ont aussi été organisés. De telles démissions ont eu lieu dernièrement à Besançon, Martigues et en Guadeloupe.
De son côté, le lycée Bellevue (Toulouse) a décidé d’écrire à Macron, Blanquer et aux députés des lettres, des tracalerter sur les conditions de travail au sein dts, des dessins … pour montrer leur opposition à la réforme. Pendant quelques jours, une collecte d’un maximum de lettres de profs, de parents et d’élèves est organisée afin de faire un envoi groupé en présence de la presse dans le courant de la semaine prochaine. Cette action sera renouvelée chaque semaine dans l’espoir d’avoir des réponses et une certaine audience médiatique.
Si d’autres bahuts souhaitent se joindre à cette initiative, n’hésitez pas à contacter le lycée via la mailing liste de la coordination des bahuts en lutte du 31 : coordinationlyceestoulouse@framalistes.org
Nuit des lycées du 7 février
La coordination des lycées en lutte du 31 a voté, le 24 janvier, une nuit des bahuts le jeudi 7 février au soir !! Au niveau national, une vingtaines d’établissement ont prévu d’y participer.
On en parle ici et là :
– La dépêche
– Le café pédagogique
En Île de France :
Assemblée Générale de grève Éducation d’Ile-de-France, qui s’est tenue ce mardi 5 février soir à Paris, a réuni plus de 100 collègues en provenance d’au moins 58 établissements ou regroupements d’établissements. Il s’agissait majoritairement de lycées, mais il y avait davantage de collèges que lors des précédentes AG, ainsi que des écoles primaires, ce qui témoigne d’une mobilisation qui s’étend. Les conditions annoncées pour la rentrée 2019 concrétisent les menaces que les personnels dénoncent depuis des mois pour les conditions de travail et d’enseignement. Et elles poussent de nouveaux établissements à entrer dans l’action.
Huit établissements présents avaient pour mandat de reconduire la grève demain ou jeudi (pour certains conditionné au fait de ne pas être seuls à le faire). Et huit autres établissements ont prévu des AG ou des heures syndicales dans les prochaines 48h pour mettre en discussion la poursuite de la grève. Par ailleurs, sept établissements ont prévu des occupations nocturnes le 7 février et/ou le 12 février.
L’AG de grève Éducation d’Ile-de-France appelle à poursuivre la mobilisation pour une école plus égalitaire et émancipatrice :
– pour l’abrogation des réformes du lycée général et technologique, du lycée professionnel, et du baccalauréat ;
– pour l’abrogation de la loi ORE et de Parcoursup ;
– contre la baisse des moyens annoncée dans les écoles primaires, les collèges (en particulier pour les UPE2A) et les lycées ;
– pour une carte élargie de l’education prioritaire allant de la maternelle au Bac ;
– contre l’imposition d’une deuxième heure supplémentaire obligatoire dans le second degré.
« L’AG soutient les établissements qui ont décidé de reconduire la grève dès mercredi 6 ou jeudi 7 février, et appelle à les rejoindre. Une caisse de grève commune est d’ores et déjà mise en place. » (65 Pour, 0 Contre, 7 abstentions, 0 NPPV)
Elle appelle à une nouvelle assemblée générale vendredi 8 février à 19h (une salle est en cours de réservation sur Paris), pour organiser la suite de la mobilisation.
LIENS UTILES
– La caisse de lutte (mise en page en construction) : ici
– La pétition de la coordination nationale (plus de 1300 signatures en 48h!) : ici
– La carte interactive des collectifs et établissements mobilisés contre les réformes Blanquer : ici
– Le groupe facebook « Les enseignants s’organisent contre les réformes Blanquer »: ici
– La page facebook de Touche pas ma ZEP : ici
– Le blog du collectif CRBP Ile-de-France : ici
– Le compte Twitter de la coordination nationale des collectifs en lutte contre les réformes Blanquer : ici
– Pour retrouver toutes les infos essentielles et tout le matériel (tracts, affiches, communiqués, appels (inter)syndicaux, revue de presse…), vous pouvez utiliser le site internet qui est maintenant à jour : ici
– Pour signer collectivement l’appel en ligne ou pour le soutenir en tant qu’école/collège REP/REP+ ou ex-RRS : ici
– Nouveauté : pour nous aider à tenir, vous pouvez donner à la caisse de grève en ligne : ici
– Et pour suivre la mobilisation : la chaîne Youtube du collectif : ici
A Nice :
« Selon Nice matin, les professeurs [lycée Matisse de Vence] retiennent les notes en réaction à la mise en oeuvre de la réforme du lycée. « Les controles sont corrigés et évalué mais les notes sont retenues et n’apparaissent pas sur Pronote ni sur les copies. C’est un gel des notes », confirment les élus des enseignants. » lire plus
En lorraine :
« Mercredi matin, les représentants des syndicats CGT, FO, FSU et Sud du lycée Jean-Zay de Jarny ont mobilisé enseignants, parents d’élèves, quelques habitants et élus devant les grilles de l’établissement. Le personnel qui le souhaitait a débrayé une heure. But de la manœuvre : alerter la population sur la refonte du lycée et de la voie professionnelle prévue par le ministère de l’Education nationale. Tous craignent la disparition de certaines matières et filières dans ce bassin de vie semi-rural. » lire plus
Au Havre :
La FCPE et les enseignants siégeant au conseil d’administration du lycée Claude-Monet appellent conjointement, jeudi 7 février, à une journée « lycée mort ». Les profs prévoient de ne pas faire cours aux élèves présents, et la FCPE ademandé aux parents de ne pas envoyer leurs enfants.
La réforme en bref, les horaires disciplinaires prévus :
–Seconde : un tronc commun composé de français (4h), histoire-géographie (3h), deux langues (5h30), SES (1h30), mathématiques (4h), physique-chimie (3h), SVT (1h30), EPS (2h), EMC (18h/an) et « sciences numériques et technologie » (1h30).
–Première : un tronc commun comprenant français (4h), histoire-géographie (3h), deux langues (4h30), EPS (2h), « enseignement scientifique » (2h) et EMC (18h par an) + trois spécialités (4h chacune). Pour la liste des spécialités, voir ci-dessous.
–Terminale : un tronc commun comprenant philosophie (4h), histoire-géographie (3h), deux langues (4h), EPS (2h), « enseignement scientifique » (2h) et EMC (18h par an) + 2 spécialités (6h chacune) parmi les trois suivies en première.
Choix des spécialités parmi les 12 spécialités :
–
5 ne font l’objet que d’une carte académique ou nationale qui
inclut les lycées privés : arts ; littérature ;
langues et cultures de l’Antiquité ; numérique et sciences
informatiques ; sciences de l’ingénieur ;
biologie-écologie.
– les 7 autres, au départ annoncées comme
devant être présentes dans chaque lycée, devront en réalité être
disponibles au sein d’un même bassin : histoire-géographie,
géopolitique et sciences politiques ; humanités, littérature
et philosophie ; langues, littératures et cultures étrangères ;
mathématiques ; physique-chimie ; SVT ; SES.
Nos revendications
- L’abrogation de la réforme du lycée et du bac
- maintien du cadre national du baccalauréat, qui doit rester le premier grade universitaire et maintien d’un véritbale anonymat lors des épreuves
- une réduction des effectifs par classe (maximum 25 élèves) et la mise en place d’un dédoublement systématique par un cadrage national
- le changement des EPLE en établissements polytechniques avec un enseignement qui garantisse à tou-te-s les élèves l’appropriation de tous les types de savoirs – qu’ils soient manuels, techniques, artistiques ou théoriques – reposant sur des pratiques pédagogiques coopératives et émancipatrices
2) Le collège Jolimont dit STOP aussi !
L’ensemble de l’équipe enseignante du collège Jolimont (Toulouse) a envoyé une lettre au rectorat de Toulouse afin de les alerter sur les conditions de travail au sein de l’établissement.
De plus, mardi 5 février, le personnel de ce même collège était à 95 % en grève !!
Ce collège a dit stop aux mauvaises conditions de travail et d’enseignements, mais d’autres établissements et personnels se mobilisent également, en envoyant des lettres au rectorat, en signant des pétitions, en refusant les évals CP, en demandant des audiences auprès de la dasen…
Pour plus d’informations n’hésitez pas à contacter Sud Education 31-65 par mail : sudeduc31@sudeducation.org ou par téléphone : 05.62.14.66.74
3) Permanence non-titulaires et stage précarité à venir
Nous vous rappelons que une permanence pour le droit des personnels non titulaires de l’Education nationale est active chaque premier et troisième mercredis du mois, au local de SUD Education, 52 rue Babinet (voir affiche ci-dessous).
De plus, un stage « Précarité: organisons l’autodéfense, créons des solidarités! » aura lieu sur deux jours: les jeudi 11 et vendredi 12 avril, de 9h à 16h au local de Babinet.
Cette formation sera l’occasion de faire le point sur les droits des personnels non titulaires : Prof contractuel-le-s, AVS, AED et prévoir des actions pour en obtenir de nouveaux !
Ce stage est ouvert à toutes et tous : titulaires, non titulaires.
Pour rappel, comme les titulaires, les non titulaires ont droit à 12 jours par an de formation syndicale. Vous avez un mois pour vous inscrire (avant le 11 mars) en envoyant une demande d’absence et une convocation à votre hiérarchie (si vous êtes intéressé-e-s,
envoyez-nous un mail)
4) Les nouvelles modalités d’affectation des personnels dans le 1er degré
Les organisations
syndicales nationales, SNUipp-FSU, SNUDI-FO, UNSEN-CGT Educ’Action,
SE-UNSA, SUD-Education se sont adressées au ministre de l’Education
nationale pour obtenir la suspension de la mise en œuvre des
nouvelles modalités d’affectation des personnels
du
premier degré et demandent une audience auprès du ministre, le plus
rapidement possible, afin de porter les revendications des
personnels.
Elles
invitent leurs sections départementales à se réunir et à
construire des initiatives les mercredis dès le 13 février, avec
audiences communes auprès des Dasen, conférence de presse,
rassemblements… Après des mercredis de mobilisation en fonction
des dates
de
vacances scolaires et en l’absence de réponse satisfaisante du
ministère, une nouvelle mobilisation est prévue le 13 mars.
5) 5 février: la suite
Un acte qui appelle des suites
L’Union syndicale Solidaires avait appelé à participer à la journée de grèves et de manifestations du 5 février initialement posée par la CGT. Cette journée dans un nombre important de villes a permis de voir des cortèges unitaires réunissant à la fois des organisations syndicales et des gilets jaunes. Partout les cortèges étaient dynamiques, engagés, déterminés.
Cette journée a aussi été l’occasion d’être toujours plus nombreuses et nombreux pour porter des exigences de justice sociale et fiscale dans un contexte où les inégalités et l’accaparement des richesses par quelques un-es deviennent tout simplement insupportables à une large majorité de la population. Loin de s’essouffler la volonté de combattre les injustices se renforce donc.
Cette journée c’est aussi celle au cours de laquelle, à l’initiative du gouvernement, l’assemblée nationale a adopté en première lecture un projet de loi liberticide pour le mouvement social avec une loi anti manifestation. Ce texte doit être combattu, nous nous y emploierons.
Comme nous le disons depuis des mois, pour Solidaires la responsabilité du mouvement syndical reste importante, il se doit de continuer à poser des actes forts rapidement. Il n’y a rien à attendre du faux nez du « grand débat » qui ne servira qu’à tenter de relégitimer la politique anti sociale du gouvernement.
Nous continuerons à proposer aux autres organisations de s’unir sur des bases revendicatives fortes et de construire une grève générale reconductible pour peser dans le rapport de force et arracher des augmentations de salaire et des droits sociaux. Même si l’union reste difficile nous ne souhaitons pas y renoncer, la réussite de cette journée doit nous engager à poursuivre dans cette construction avec toutes et ceux qui se reconnaissent dans les mots d’ordre de justice sociale. Il n’est plus temps de différer.
Paris, 5 février 2019
6) Lutte lgbt à l’école
Le Ministère de l’Éducation nationale vient de lancer sa campagne « Contre l’homophobie et la transphobie » dans les collèges et lycées. Déclinée sous forme d’affiches et de flyers à destination des élèves, la campagne explicite la nature des violences à l’égard des LGBT (moqueries, discriminations, insultes, rejet, agressions, barrés d’un grand « Ça suffit ») et interpelle par son slogan « Tous égaux, tous alliés » et par les préconisations de son flyer sur les attitudes à adopter pour prévenir et réagir aux violences LGBTphobes.
On peut se réjouir de certaines avancées par rapport à la campagne précédente : la transphobie, absente jusqu’alors des campagnes de sensibilisation, est désormais nommée, et les formules du flyer proposent des pistes pertinentes et concrètes qui peuvent parler aux élèves.
Mais cette campagne présente aussi d’importantes lacunes :
- Parler simplement d’homophobie et de transphobie et écarter le terme plus inclusif de LGBTQIphobies, c’est invisibiliser les lesbiennes qui subissent une double oppression en tant que femmes et en tant que lesbiennes, et invisibiliser les bi-es, intersexes qui subissent tous les jours discriminations et violences dans les établissements
- Vouloir lutter contre la transphobie sans mentionner le respect du prénom et du pronom choisis des élèves et personnels trans, c’est passer à côté d’un enjeu essentiel pour le bien-être des élèves et personnels en transition
- Limiter cette campagne au secondaire en « oubliant » l’école primaire, c’est ne pas se donner les moyens de déconstruire dès le plus jeune âge les stéréotypes LGBTQIphobes qui nourrissent insultes et discriminations
- Diffuser cette campagne sans former véritablement les personnels sur ces questions, c’est restreindre sa portée dans la durée
- Prétendre lutter contre les LGBTQIphobies, et honnir feu les ABCD de l’égalité qui déconstruisaient les stéréotypes de genre pour donner des gages aux réactionnaires LGBTQIphobes, c’est faire un curieux grand écart…
Pour lutter contre les LGBTQIphobies dans tous les établissements scolaires, du primaire à l’université, SUD éducation revendique :
- la ré-intégration du concept de genre dans les textes officiels et sa prise en compte dans des programmes élaborés par la communauté éducative
- la prise en compte de ces questions dans les enseignements
- l’effectivité des séances d’éducation à la sexualité prévues dans les textes officiels et la prise en compte dans ces séances d’une perspective non hétérocentrée, qui mette sur un pied d’égalité toutes les orientations sexuelles et toutes les identités de genre
- la mise en place de dispositifs dédiés (comme l’étaient les ABCD de l’égalité) permettant aux élèves de réfléchir spécifiquement aux discriminations et stéréotypes de genre, et de les déconstruire
- le respect du prénom et du pronom d’usage pour les élèves et personnels trans
- la promotion de projets par exemple via les CESC (Conseil d’éducation à la santé et à la citoyenneté), et d’interventions d’associations ou organisations laïques (Planning Familial, SOS Homophobie par exemple) pour compléter les actions et pratiques pédagogiques mises en œuvre dans les établissements
- la mise en place dans la formation initiale de modules obligatoires sur les problématiques de genre, pour les futur-e-s enseignant-e-s (selon un volume horaire identique dans toutes les ESPE), et pour toutes les autres catégories de personnel (CPE, agent-e-s)
- un renforcement de l’offre de formation continue sur ces questions
Plus d’infos sur le site de la fédération des syndicats SUD Education : ici
7) 8 mars: grève des femmes !!!
Les luttes féministes ont permis de conquérir des droits et de progresser vers l’égalité entre les femmes et les hommes. Mais cette égalité est loin d’être effective. C’est pourquoi la journée du 8 mars ne se « fête » pas et n’est pas la « journée de la femme » mais bien celle de lutte pour les droits des femmes ! Le 8 mars est une journée internationale de convergence de toutes nos luttes, celles des femmes d’ici et d’ailleurs.
Comme chaque année depuis 2014, l’Union syndicale Solidaires est engagée dans la préparation d’un 8 mars de grève des femmes.
8) Soutien aux enseignant-e-s et agent-e-s de la ville de São Paulo en grève le 4 février
Les enseignant-e-s et agent-e-s de la ville de São Paulo seront en grève le 4 février pour une revalorisation de leurs salaires et contre la réforme des retraites du gouvernement Bolsonaro.
Cette grève est la première sous le mandat de Bolsonaro !
Elle incarne le point de départ de la résistance contre un gouvernement d’extrême droite. A travers leur grève, les enseignant-e-s et agent-e-s de la ville de São Paulo ne revendiquent pas seulement de meilleures conditions de travail et de vie mais initient la lutte de la population du Brésil contre un gouvernement d’extrême droite.
La Fédération SUD éducation exprime son entière solidarité avec la lutte des enseignant-e-s et des agent-e-s de la ville de São Paulo car leur combat est le nôtre.
9) Palestine: les crimes de guerre ne sont pas des attractions touristiques!
Les géants de la réservation en ligne Airbnb, Booking.com, Expedia et TripAdvisor favorisent des violations des droits humains des Palestiniens en présentant plusieurs centaines d’hébergements et d’activités dans les colonies de peuplement israéliennes en territoire palestinien occupé, y compris à Jérusalem-Est, a déclaré Amnesty International le 30 janvier. Dans son nouveau rapport intitulé Destination : Occupation, l’organisation montre que des entreprises de réservation en ligne attirent les touristes dans les colonies israéliennes illégales et contribuent ainsi à leur existence et à leur extension.
La politique d’Israël qui consiste à installer des civils israéliens dans des territoires palestiniens occupés viole le droit international humanitaire et constitue un crime de guerre. Malgré cela, ces quatre entreprises continuent de mener des activités dans les colonies, et tirent profit de cette situation illégale.
Dans son rapport, Amnesty International expose le cas de la colonie de Kfar Adumim, qui attire un nombre croissant de touristes […}
Voir en ligne : Lire la suite sur le site d’Amnesty international