1) A Toulouse la reconductible est lancée !!!
Aujourd’hui s’est tenue une nouvelle Assemblée Générale des grévistes de l’éducation nationale qui a décidé de reconduire la grève jusqu’à mardi 21 mai!!! Plusieurs actions sont en cours de préparation afin de faire vivre et massifier la grève : blocage rectorat, action d’occupation demain rdv à 10h à Jean Jaurès, tournée des bahuts, soutien aux actions des parents…
Mardi 14 mai cette même AG avait voté la reconduction de la grève jusqu’à aujourd’hui, un soutient de la part des enseignant.e.s aux parents d’élèves qui souhaitaient bloquer ou occuper leur école aujourd’hui, une action d’occupation demain RDV ????
Retour sur les blocages et occupations des écoles du grand Mirail aujourd’hui :
- Étaient bloquées : Elsa Triolet maternelle, Didier Daurat élémentaire, Bastide élémentaire et Victor Hugo élémentaire.
- Était occupée : Simone Veille élémentaire et maternelle pour discuter et fabriquer du matériel (tract, banderoles, affiches…)
Vers 9h30 les parents et enseignant.e.s d’Elsa Triolet ont rejoint les parents et enseignant.e.s de Didier Daurat pour rejoindre ensemble les parents et enseignant.e.s de Simone Veille. Puis, certains parents et certain.e.s enseignant.e.s sont allées devant la mairie de quartier pour demander la mise en place du service minimum d’accueil les jours de grève dans le quartier ! Mais la mairie ayant était prévenue par la police a fermé ses portes et sa grille pour ne pas être « envahie » de parents !! C’est une honte que des parents ne soient même pas entendus, ni même accueillis !!!
A l’école Victor Hugo l’IEN de circonscription est venue pour mettre les parents et les enseignants sous pression. L’IEN a demandé à voir les parents « pour leur expliquer les réformes » sans les enseignants. Les parents ont répondu qu’ils s’étaient déjà renseigné et qu’ils n’avaient pas besoin qu’on leur explique davantage. Par solidarité les parents des écoles Bastide et Dottin sont venus à l’école Victor Hugo discuté avec l’IEN. Des délégués de syndicats enseignants ce sont également rendus sur place. Ne nous laissons pas faire! Arrêtons d’être culpabilisés, si les enseignant.e.s font grève c’est à cause des politiques gouvernementales catastrophiques!!!!
Vidéo France 3 région sur les actions du matin
Vendredi 17/05 ACTION sur le secteur Bellefontaine : opération école morte pour les écoles Victor Hugo, Bastide et Dottin + blocage de l’école Dottin par les parents
Lundi 20/05 ACTION sur le secteur écoles Maurice Jacquier : les parents d’élèves ont prévu un affichage simultané de banderoles sur les écoles du quartier et un rassemblement devant l’école Maurice Jaquier. Ils invitent les enseignant.e.s qui le souhaitent à venir en soutien.
Affiche à l’attention des parents réalisée par les parents et les enseignant.e.s de Calas-Dupont :
2) Appel de la coordination nationale inter-degrés du 12 mai 2019
Nous invitons par exemple tous les collègues mobilisés à se faire connaître des animateurs-trices du site bloquonsblanquer.fr, pour y faire apparaître leurs initiatives, leurs listes de diffusion, leurs caisses de grève…
– Par mail : bloquons.blanquer@gmail.com
– En contactant la page : https://www.facebook.com/bloquonsblanquer/
– Sur le groupe « Les enseignants s’organisent contre les réformes Blanquer » :
https://www.facebook.com/groups/422548111511799
– Sur twitter : https://twitter.com/STOPreformes
3) Et ailleurs en France ??
Quelques AG de grévistes du mardi 14 mai :
- Rhône : Actions de blocage symbolique du Rectorat, AG de grévistes avec une centaine de personnes.
- Gard : Grève reconduite (46 pour et 2 abstentions) jusqu’ au mardi 21. Actions prévues : rassemblement sonore devant un lycée + soutien AESH hier + tournée des bahuts + action « Intentions de grève 1er degré » : récupérer un max d’intentions d’ici vendredi pour transmission massive IEN (que les collègues veuillent faire réellement grève ou non).
- Hérault : Grève reconduite jusqu’au 24 mai. Actions prévues : appel à de nombreux rdv de mobilisation + tournées de bahuts pour massifier le mouvement + un comité de grève a été élu le 09 mai.
- Seine Saint Denis : actions prévues pour aujourd’hui : cortèges en provenance des quartiers vers le centre-ville + rassemblement devant le DSDEN + rassemblement devant le Sénat + NUIT DE L’EDUCATION à la mairie de Montreuil
4) 15 mai : journée nationale AESH
Pour un vrai statut – Titularisation de tou.te.s les précaires
AESH : c’est un métier, il doit être reconnu ! Mobilisations 15 et 23 mai
Le 15 mai : une mobilisation des AESH réussie qui en appelle d’autres !
Une forte mobilisation unitaire a eu lieu aujourd’hui pour la reconnaissance statutaire et professionnelle des AESH (accompagnant-es d’élèves en situation de handicap) avec une vingtaine de rassemblements devant les directions départementales de l’éducation nationale, les rectorats et les préfectures. Malgré les beaux discours du ministre Blanquer, la « loi pour l’école de la confiance » n’apporte aucune amélioration ni pour les conditions de travail des AESH ni pour les conditions d’étude des élèves en situation de handicap. Le gouvernement refuse de les titulariser alors que sans elles/eux la loi de 2005 ne pourrait pas s’appliquer. Ces presque 90 000 personnels, majoritairement des femmes, sont maintenues sciemment dans la précarité et l’exclusion. Les nouveaux dispositifs des Pial et de 2d employeur ne vont qu’aggraver cette situation, comme celle des élèves en situation de handicap qu’elles/ils suivent.
Il y a urgence à créer un statut de fonctionnaire avec un temps de travail à temps plein, une hausse des salaires, une véritable formation et à gagner des améliorations des conditions d’emploi et d’affectation des personnels.
SUD éducation appelle dans le cadre de la lutte contre la loi Blanquer à poursuivre la mobilisation pour la reconnaissance du métier d’AESH et à se mettre en grève le 23 mai. Pas de loi de 2005 sans titularisation des AESH !
A Toulouse il y a eu une AG, une manif et une audience au rectorat avec rassemblement pour attendre.
C’était une très belle mobilisation due au mélange entre AESH du collectif et les personnels enseignants en reconductible. Il y avait aussi des AESH gilets jaunes qui rejoignent la lutte sur leur lieu de travail. Il y avait 60 personnes à l’AG, 150 en manif, 100 au rassemblement. Certaines AESH ont été en grève contre la loi Blanquer et il a été dit que les AESH devaient rejoindre le mouvement. La caisse de grève mise en place ira en priorité vers elles.
Des avancées locales ont été évoquées, et le rectorat devrait produire pour la rentrée un VADEMECUM du métier d’AESH
5) Soutien inconditionnel aux collègues en GAV et aux collègues sanctionné.es par leur hiérarchie depuis le début du mouvements
Alors que depuis plusieurs semaines, les mobilisations contre les réformes Blanquer et la réforme de la Fonction publique s’amplifient, la répression se généralise de manière inquiétante.
Sur nos lieux de travail
Tentatives de musellement
L’article 1 du
projet de loi Blanquer vise à museler les enseignant-e-s. SUD
éducation rappelle que les personnels ne sont pas soumis au devoir
de réserve. La liberté d’expression des fonctionnaires est un
droit garanti par le statut.
L’administration suit
scrupuleusement les consignes du ministre Blanquer s’en prend
directement aux personnels qui s’expriment sur les projets
délétères du gouvernement :
Plusieurs directeur et
directrices d’école ont ainsi été la cible de leur hiérarchie.
Le dernier cas en date est celui d’un directeur d’école de
Lodève, qui a reçu une lettre de menaces de l’administration pour
avoir signé une tribune contre la loi Blanquer et avoir répondu aux
questions de journalistes. Plus grave encore, une directrice d’école
au Havre qui s’est ouverte aux parents d’élèves du danger des
réformes Blanquer a reçu un blâme. L’administration a envisagé
de la muter d’office, et n’a reculé que sous la pression des
personnels mobilisés.
SUD éducation dénonce des tentatives d’intimidations aussi brutales qu’illégales et appelle les enseignant-e-s à faire usage de leur droit d’expression.
Tentatives d’intimidation
Pour les besoins
de communication du ministre, la hiérarchie communique sur les
évaluations nationales comme si elles étaient un succès. C’est
oublier que les personnels ont été nombreux à refuser de les faire
passer ou d’en saisir le résultat, dénonçant des exercices
stériles et inutilement stressants pour les élèves, ainsi qu’une
charge de travail supplémentaire pour les personnels. Dans le second
degré, de nombreuses et nombreux enseignant-e-s refusent d’alimenter
la machine de tri social parcoursup, en mettant notamment la note de
20/20 à tou-te-s les élèves.
Courrier de menaces
La hiérarchie multiplie
les menaces et les manœuvres d’intimidation. Le directeur général
des ressources ose ainsi dans un courrier aux recteurs, rectrices et
Dasen d’agir qualifier de “faute professionnelle” le refus de
mettre en œuvre docilement les évaluations nationales, alors même
qu’aucun texte réglementaire ni aucune circulaire ne prévoit leur
mise en œuvre.
Autoritarisme, répression antisyndicale
Les
parents d’élèves se mobilisent également contre les réformes
Blanquer : occupations d’écoles, manifestations… à
Montreuil, un inspecteur de l’Éducation nationale va jusqu’à
appeler les directeurs et directrices d’école pour les inciter à
porter plainte contre les parents d’élèves.
Lorsque que l’intimidation ne suffit pas, il s’agit de s’attaquer frontalement aux équipes pédagogiques. Tout l’arsenal est utilisé : procédures disciplinaires, mutations dites “dans l’intérêt du service”… Récemment, ce sont les personnels du collège République à Bobigny où la section SUD éducation qui a dénoncé à de multiples reprises les dysfonctionnements et les manquements de l’administration est visée directement par le recteur de Créteil : deux procédures de mutations, et une procédure disciplinaire sont en cours. La même logique est à l’œuvre au collège de Sombernon (Côte-d’Or). Les personnels qui dénoncent les dysfonctionnements de leur hiérarchie, au lieu d’être écoutés, subissent une procédure de mutation et de sanction. Dans ces deux cas, c’est la mobilisation massive des personnels qui constitue un rempart contre l’arbitraire et l’autoritarisme hiérarchiques.
Dans la rue
La répression policière du mouvement social s’amplifie, tant à l’égard spécifiquement des lycéen-ne-s mobilisé-e-s et matraqué-e-s, voir parqué-e-s à genoux les mains sur la tête comme à Mantes-la-Jolie qu’à l’égard de l’ensemble de celles et ceux qui prennent part aux mouvements en cours pour la justice sociale.
On ne compte plus les blessé-e-s, mutilé-e-s par la police depuis le début du mouvement des gilets jaunes. Lors de la manifestation du premier mai, le cortège de Solidaires a dû résister à une attaque en règle de la police. La loi “anti-casseurs” récemment promulguée s’ajoute à l’arsenal judiciaire déployé pour réprimer toute contestation et criminaliser le mouvement social.
SUD éducation revendique :
le retrait du projet de loi « anti-manifestation » ;
l’abandon des poursuites à l’encontre des victimes de la répression policière et leur indemnisation ;
l’interdiction des armes mutilantes (LBD 40, grenades de désencerclement…) ;
l’arrêt et la fin de l’impunité des violences policières
Le retrait de la loi dite de la confiance, abrogation des réformes du lycée et de la voie professionnelle
6) Brésil : toute l’éducation en grève le 15 mai
Combattre l’extrême droite par la grève !
À l’appel de l’ensemble des syndicats, les enseignant-e-s, les étudiant-e-s et les travailleur-euse-s de l’éducation organisent une grève à échelle nationale le 15 mai contre la contre-réforme des retraites et les attaques du gouvernement Bolsonaro envers l’éducation publique.
Le gouvernement Bolsonaro prévoit, pour les écoles et universités, une réduction de 30 % du budget, qui était déjà bien en dessous des besoins. La censure imposée aux enseignant-e-s apparaît à travers une véritable persécution idéologique, sans respecter la liberté pédagogique. Elle est orchestrée dans le cadre d’une campagne gouvernementale nauséabonde appelée « Escola sem Partido » (École sans parti) ; une tentative d’Union sacrée contre ce que le gouvernement appelle le « marxisme culturel », faisant de tou-te-s les act-rice-eur.s de la culture des ennemi-e-s potentiel.le.s.
Cette grève nationale a pour objectif la convergence des
nombreuses luttes des étudiant-e-s et de l’ensemble des
travailleur et travailleuses de l’éducation qui se multiplient
dans le pays depuis plusieurs semaines. Elle s’inscrit également
dans la lutte interprofessionnelle contre la « Réforme des
retraites », qui pour les enseignant-e-s augmenterait de 10
années l’obligation de service, et elle permet d’avancer dans la
construction d’un rapport de force pour la grève générale du 14
juin.
La Fédération SUD éducation soutient la lutte menée
par les travailleurs et travailleuses de l’éducation au Brésil et
leurs légitimes et urgentes revendications lors de cette grève du
15 mai :
— la défense des libertés
démocratiques
— la liberté pédagogique
— la
fin de « Escola sem partido » et de la militarisation des
écoles,
— la dénonciation du racisme, du
machisme et de la LGBTphobie inculqués dans les écoles
— la
revalorisation des salaires par rapport à l’inflation.
— l’annulation des coupes budgétaires et 10 %
du PIB pour l’éducation.
7) 17 mai : journée internationale de lutte contre les LGBTIphobies – Lutter contre les LGBTIphobies en milieu scolaire, une nécessité
Les LGBTIphobies sont bien présentes dans les établissements scolaires. Si les élèves en sont les premières victimes d’après les rapports annuels de SOS Homophobie, cette question concerne aussi les personnels : soit parce qu’ils et elles peuvent être les auteur-e-s de ces actes LGBTIphobes, soit parce qu’ils et elles en sont les victimes. SUD éducation est au côté des personnels LGBTI de l’Éducation nationale, pour lutter contre toutes les formes de discrimination LGBTIphobe et hétérosexiste, et appelle à se mobiliser à l’occasion du 17 mai et des marches des fiertés, contre la haine, pour les droits LGBTI et l’épanouissement de tou-te-s !
La question de la visibilité
Deux lesbiennes sur trois et un gay sur 2 disent être « invisibles » au travail, selon des enquêtes de l’Autre cercle.
L’invisibilité c’est le fait que toutes les personnes sont spontanément perçues comme hétérosexuelles. La question de dire ou non que l’on est LGBTI se pose en permanence. Même si la situation est connue, l’ambiance de travail et le degré d’acceptation peut changer avec l’arrivée d’un-e nouveau-elle collègue, supérieur-e hiérarchique… Le choix de cacher sa vie personnelle pour ne pas risquer des discriminations peut avoir pour conséquence d’être moins bien intégré dans l’établissement, d’être mis-e en retrait. L’invisibilité peut peser sur la sociabilité avec les collègues (la vie conjugale est souvent un sujet de conversation) et le cadre professionnel est souvent perçu comme anxiogène et peu sécurisant.
Les manifestations de LGBTIphobies directes
Elles peuvent prendre de multiples formes : moqueries et blagues déplacées, ostracisation, harcèlement, insultes, outing, emploi délibéré du prénom et du genre d’état civil assigné à la naissance pour les personnes trans ayant commencé leur transition sociale. Régulièrement la hiérarchie minimise les actes LGBTIphobes voire les couvre en n’entreprenant aucune démarche à l’encontre de l’agresseur-e. Trop souvent des collègues ne témoignent pas ou ne réagissent pas verbalement s’ils et elles sont témoins de LGBTIphobie.
Face aux LGBTIphobies, réagissons !
→ intervenir
dans la conversation, reprendre les blagues déplacées : il est
essentiel de ne pas laisser une ambiance sexiste/LGBTIphobe
s’installer sur le lieu de travail. S’identifier comme allié-e
ou personne concernée est une marque de soutien sychologique
importante pour un-e collègue LGBTI victime de discrimination.
→
prendre contact avec la section syndicale de votre établissement ou
la permanence départementale.
→ inscrire les faits au
Registre Santé Sécurité au Travail : il a valeur juridique,
l’employeur a obligation de répondre aux faits qui y sont
consignés.
→ rappeler le devoir de protection de la part du
ministère à l’égard de ses salarié-e-s.
→ rappeler la
loi, qui sanctionne les actes de discriminations en raison de
l’orientation sexuelle et de l’identité de genre.
Pour lutter contre les LGBTIphobies, SUD éducation revendique :
→ Le
respect du prénom et du pronom d’usage, changement d’état civil
libre et gratuit en mairie sans intervention des pouvoirs judiciaires
et médicaux .
→ L’élaboration de matériel pédagogique
spécifique sur les questions de transphobie.
→ La nécessité
pour l’administration de soutenir, aider et défendre tous les
membres de la communauté éducative qui, du fait de leur identité
de genre, subiraient diverses formes de brimades, de harcèlement ou
de discriminations, d’où qu’elles viennent (élèves,
administration, collègues, parents). L’administration doit
accompagner ces membres dans leurs démarches, y compris dans le
cadre d’un hangement de genre et/ou d’identité, en veillant à
leur assurer un environnement sécurisé pour qu’ils puissent
effectuer leur parcours sans être mis en danger dans leur milieu
éducatif et professionnel.
→ La ré-intégration du concept
de genre dans les textes officiels et sa prise en compte dans des
programmes. élaborés par la communauté éducative.
→ La
mise en place de dispositifs dédiés (comme l’étaient les ABCD de
l’égalité) permettant aux élèves de réfléchir spécifiquement
aux discriminations et stéréotypes de genre, et de les déconstruire
→ Une politique de prévention (campagne d’information sur
les ambiances de travail sexistes, affichage de la loi sur le
harcèlement sexuel) et de suivi accompagnement des victimes dans
leurs démarches, notamment judiciaires), via les CHSCT s’agissant
des cas de harcèlement, et la mise en place systématique de
la
protection fonctionnelle, qui est de droit ;
→ La
mise en place dans la formation initiale de modules obligatoires sur
les problématiques de genre, pour les futur-e-s enseignant-e-s
(selon un volume horaire identique dans toutes les ESPE), et pour
toutes les autres catégories de personnel (CPE, agent-e-s) ;
→
Un renforcement de l’offre de formation continue sur ces questions.
8) Ecologie / Grève scolaire internationale pour le climat 24 mai
La lutte contre le dérèglement climatique ne peut plus attendre ! La communauté scientifique s’accorde pour dire qu’en 2030, le réchauffement climatique ne doit pas dépasser 1,5 degré, sans quoi la crise sera irréversible.
En tant que syndicat de transformation sociale et écologique, SUD éducation revendique une transition écologique fondée sur un juste partage des richesses et des ressources afin de garantir une vie digne pour tou-te-s.
Après le succès de la grève scolaire du 15 mars, le 24 mai aura lieu une grève mondiale pour la planète, à l’initiative de nombreux collectifs.SUD éducation y prendra toute sa part, et déposera un préavis de grève spécifique pour permettre à tous les personnels de la maternelle à l’université de se mettre en grève et de construire la mobilisation.
Une mobilisation sera organisée à l’initiative de Youth For Climate Marseille à Marseille.
Solidaires 13 et Sud éducation 13 était présent le 15 mars 2019 dans la rue au côté de la jeunesse à Marseille. Nous soutenons cette journée de mobilisation heure de la manifestation à venir