Nouvelles du jeudi 17 juin

Début des épreuves du Bac, quoiqu’il en coûte !

Contrairement à ce que prétend la communication ministérielle, les modalités d’organisation du baccalauréat de cette année sont la preuve flagrante de la désorganisation la plus totale et mettent en lumière des inégalités de traitement criantes. C’est le résultat de l’application des lois Blanquer sur les lycées et les examens « quoi qu’il en coûte pour les personnels et les élèves ».

Pour les bacs généraux et technologiques, en philosophie, c’est la meilleure note entre le contrôle continu et celle de l’épreuve écrite qui sera retenue, alors que pour les bacs professionnels, toutes les épreuves terminales sont maintenues sans aménagement.

Grand oral : l’épreuve phare du Ministre n’évaluera rien d’autre que la maîtrise des codes socio-culturels des candidat·e·s

Quand on demande des précisions sur le barème du grand oral, le ministère répond « grille d’évaluation ». Et sur les cinq critères énoncés, trois concernent des questions de pure forme contre deux pour le contenu. La quantification de ces critères semble laissée aux commissions d’harmonisation. Selon les choix faits par ces commissions, tel⋅le candidat⋅e qui parle bien mais dont le discours n’est fondé sur aucune connaissance pourrait être mieux noté⋅e que tel⋅le autre maîtrisant les contenus de sa spécialité mais peinant à en parler. Le chaos est tel qu’on a pu voir dans une académie les initiales des spécialités apparaître sur la convocation des candidat⋅e⋅s donnant ainsi une indication sur les sujets susceptibles d’être choisis par les jurys.

Une surcharge de travail intolérable et injustifiée

À moins d’une semaine des épreuves de grand oral, certain·e⋅s collègues n’ont toujours pas de convocation, d’autres sont convoqué⋅e⋅s dans une autre académie que la leur à plusieurs heures de transport. Il est demandé à des collègues de lettres de corriger des dizaines de copies avec des sujets différents en deux jours. Dans certaines académies, les collègues de philosophie ont plus de cent copies à corriger sur une plateforme numérique, à l’encontre de toute considération sur leurs conditions de travail. N’aurait-il pas été possible de rendre cette épreuve facultative, vu que les seules notes prises en compte sont celles qui seront supérieures à celles du contrôle continu ? Cela aurait fortement allégé la charge de travail des personnels.

SUD éducation appelle les personnels sur le terrain à discuter des modalités d’action qui s’imposent et met à disposition son préavis de grève pour la période.

SUD éducation revendique :

  • la suppression du grand oral ;

  • l’abrogation des réformes ORE, des lycées et du baccalauréat.

Pour SUD éducation, au regard des circonstances et afin de garantir l’égalité des candidat·e⋅s issu·e⋅s de lycées qui ont appliqué les demi-jauges et les autres établissements, souvent privés, qui se sont soustraits à sa mise en place, la question de la délivrance du baccalauréat à tou⋅te⋅s les candidat⋅e⋅s se pose.

Pour cette année exceptionnelle, SUD éducation refuse le dilemme entre contrôle continu injuste et examens finaux problématiques, et revendique la délivrance du baccalauréat et du brevet pour toutes et tous les candidat⋅e⋅s, et en conséquence, l’augmentation du nombre de places à hauteur des besoins dans l’enseignement supérieur, ainsi que la possibilité, pour les élèves qui le souhaitent, de redoubler.

 

Pour défendre les conditions de travail des AESH et les conditions d’accompagnement des élèves : SUD éducation appelle à constituer des collectifs locaux !

Ils osent tout, surtout dans leurs intérêts et se régalent à mépriser les travailleurs et travailleuses de l’Éducation.

Les rassemblements, un peu partout en France, devant les rectorats, n’y ont rien fait. Le ministère continue d’envisager l’accompagnement des élèves en situation de handicap via des contrats précaires, et poursuit sur une logique de gestion digne des meilleurs managers de la « start-up nation ». La délégation reçue à Toulouse, pendant 30 minutes (honteusement), n’a été le lieu que du mépris de classe, de la part de bureaucrate en costume siégeant au rectorat.

La scolarisation des élèves en situation de handicap est annoncée comme une priorité du ministère de l’Éducation nationale. Le nombre d’élèves en situation de handicap scolarisé⋅e⋅s en milieu ordinaire a doublé depuis 2006 et plus de 100 000 personnels AESH les accompagnent dans leur scolarité. Néanmoins, derrière la vitrine de l’école inclusive, le ministère mène une politique de mutualisation des moyens et précarise les accompagnant⋅e⋅s.

Le 3 juin dernier, des milliers de personnels AESH, mais aussi enseignant⋅e⋅s et des parents d’élèves ont manifesté pour exiger un vrai statut, un vrai salaire pour les AESH et l’abandon des PIAL, outil de cette mutualisation.

La rentrée 2021 sera marquée par la généralisation des Pôles Inclusifs d’Accompagnement Localisé sur l’ensemble du territoire. SUD éducation refuse cette logique et y oppose une politique volontariste d’amélioration des conditions d’étude des élèves et de travail des personnels.

Partout et à toutes les échelles nous devons poursuivre la lutte ! C’est pourquoi SUD éducation appelle à la création de collectifs locaux de mobilisation : dans les villes, les départements, les académies.

SUD éducation revendique :

  • Un recrutement massif de personnels AESH fonctionnaires !

Les services de l’Éducation Nationale ne parviennent pas à recruter des personnels AESH. Aujourd’hui le salaire moyen d’un⋅e AESH est 750€ pour 24h de travail hebdomadaire. C’est insuffisant pour vivre. Le ministère doit reconnaître le métier d’AESH en créant un vrai statut dans la Fonction Publique avec un temps complet de 24h et des augmentations importantes de salaire.

  • L’arrêt de la mutualisation des moyens !

Avec la généralisation des PIAL, les élèves ont vu leur nombre d’heures d’accompagnement baisser et les AESH accompagnent un nombre d’élèves croissant. Comment construire un véritable suivi avec l’élaboration d’outils pédagogiques lorsque les élèves ne sont accompagné⋅e⋅s que quelques heures par semaine par plusieurs personnels AESH ? La mutualisation des moyens et les PIAL sont néfastes !

  • De véritables formations aux différentes formes de handicap, à leur prise en charge pédagogique, d’abord pour les AESH mais plus généralement pour tou⋅te⋅s les personnels de l’Éducation Nationale !

Tous et toutes ensemble, AESH et personnels de l’Éducation Nationale, syndiqué⋅e⋅s et non syndiqué⋅e⋅s, parents d’élèves, soyons solidaires et faisons entendre notre voix, pour la scolarisation de tou⋅te⋅s les élèves au sein du service public d’éducation !

 

Non à la mise en place du RIPEC, le nouveau système de primes pour les enseignant⋅e⋅s-chercheur⋅se⋅s et les chercheur⋅se⋅s

Non au mépris des syndicats par le ministère

Déclaration au CTMESR du 10 juin 2021

Le Service National Universel : c’est toujours non !

Le Collectif national contre le Service national universel a tenu une réunion le 10 juin 2021. C’est l’occasion pour les organisations et collectifs locaux qui le composent de réaffirmer leur refus de ce projet gouvernemental. Plus que jamais, la plateforme unitaire que nous avons adoptée il y a deux ans est d’actualité.

Les ministres réquisitionnés pour aller chercher les volontaires

Inquiet de ne pas avoir ses 25 000 volontaires pour cette année 2021, le gouvernement n’a pas lésiné sur les moyens : un nombre considérable de ministres a été mis à contribution pour aller chercher ces jeunes volontaires, à grand renfort de réunions organisées dans les départements. L’objectif gouvernemental est tout juste atteint. Les gros efforts de persuasion qui ont été nécessaires montrent à quel point le gouvernement peine à convaincre les jeunes des bienfaits de ce projet, a fortiori s’il est rendu obligatoire. C’est un motif important de notre opposition !

Le SNU : silence dans les rangs …

La fédération nationale de la Libre pensée, membre du collectif Non au SNU, avait demandé à être reçue par la secrétaire d’Etat en charge de celui-ci. Une importante liste de questions lui avait été soumise afin de préparer au mieux la rencontre. Madame El Haïry a décidé de ne pas donner suite à cette demande !

Confier les jeunes à l’armée, c’est dangereux

On nous présente le SNU comme un moyen « d’éduquer » les jeunes mineur⋅e⋅s qui y seraient astreint⋅e⋅s, de leur expliquer « la république » … Nous ne sommes pas dupes des vraies intentions. Mais l’actualité rappelle aussi à quel point il serait dangereux de confier chaque année ces jeunes mineur⋅e⋅s à l’institution dont nombre de responsables de haut rang viennent encore de s’illustrer à travers un appel à l’épuration ethnique du pays et à consolider « l’ordre social » par un recours à l’armée.

Agissons contre le SNU !

Les organisations membres du collectif poursuivent le travail d’information sur la réalité du SNU. Les collectifs locaux agissent dans les départements, pour sensibiliser les jeunes, les parents, les enseignantes et enseignants, les éducatrices et éducateurs, etc. C’est ainsi que sous l’impulsion du collectif unitaire de Meurthe-et-Moselle, les syndicats départementaux FSU, CGT Education et SUD Education ont adressé une information spécifique à 40 000 travailleuses et travailleurs de l’Education nationale en Lorraine ; c’est un exemple parmi d’autres. Nous encourageons à développer des initiatives pendant les mois d’été et prendrons une initiative nationale en novembre prochain.

Le Service national universel que le gouvernement veut rendre obligatoire pour les jeunes de 16 ans, c’est :

  • Une opération de soumission de la jeunesse : il s’agit d’inculquer un esprit d’obéissance aux règles, un respect absolu des normes… Règles et normes qui, pour la plupart, ne visent qu’à perpétuer les inégalités et injustices inhérentes à l’organisation actuelle de la société. Cette volonté de soumission passe aussi par un contrôle renforcé, notamment à travers la mise en fiches de tou⋅te⋅s les jeunes de 16 à 25 ans ; on sait comment ce genre de fichier peut être utilisé ! Volonté de soumission, enfin, car elle ne reconnaît comme « engagement » des jeunes que les dispositifs étatiques.
  • La remise en cause des droits des travailleurs et travailleuses : les jeunes du SNU seront utilisé⋅e⋅s pour remplacer des emplois aujourd’hui occupés par des employé⋅e⋅s qui ont un salaire, une convention collective ou un statut, la possibilité de s’organiser syndicalement, des droits individuels et collectifs. Avec le SNU, chaque année, 800 000 jeunes seront exploité⋅e⋅s, sans aucun de ces droits, pour des durées variables ; ils et elles seront très vivement encouragé⋅e⋅s à poursuivre leur « engagement volontaire » par un service civique, dans les mêmes conditions de précarité.
  • Des dépenses considérables : 6 milliards €/an, selon un rapport sénatorial de 2017. Ces milliards seraient bien plus utiles pour le service public de l’Éducation, qu’aux mains des militaires !
  • Le renforcement de la militarisation. Encadrement militaire, levée du drapeau, chant guerrier, uniforme, parcours du combattant, raid commando, etc. contribueront à l’endoctrinement des jeunes. La propagande visera à banaliser encore plus le rôle de l’armée, alors que celle-ci est en pointe dans la répression, sur le territoire français, dans les colonies et diverses régions du monde. Sans surprise, il n’est nullement question dans le programme de pacifisme, de non-violence, ni de remise en cause du rôle de l’armée.

Le gouvernement nous dit : Il faut que les jeunes s’engagent.

Mais c’est déjà le cas !

Ils et elles s’engagent pour lutter contre le racisme, pour que cesse la destruction de la terre, pour défendre leur droit à étudier, pour le partage des richesses, pour le droit au logement, pour l’égalité des droits et contre les discriminations, etc.

Ce n’est pas à l’État de les forcer à s’engager !

Comment peut-on parler d’apprendre la citoyenneté, lorsqu’on confie l’encadrement à l’armée (qui, par ailleurs, n’était pas demandeuse) ?

Non au SNU ! Abrogation du SNU !

 

Journée antifasciste

Samedi 19 nous vous donnons rendez-vous pour une journée antifasciste en deux temps : une Manifestation à 10h30 au départ du Métro Compans Caffarelli puis à la bourse du travail (place Saint-Sernin) de 14h à 18h pour une série de discussions/débats sur l’état des lieux de l’extrême droite, la situation dans les mairies RN, le racisme dans le monde du travail, et bien entendu sur les réponses que l’on peut collectivement apporter à ces problèmes.

 

Le rappel des faits :

  Le 5 juin 2013, l’extrême droite a tué notre camarade Clément Méric, militant de l’Action Antifasciste Paris-Banlieue et de Sud Étudiant. Le 5 juin 2013, Clément tombait sous les coups des membres de Troisième Voie, un groupuscule fasciste, rencontrés fortuitement dans un quartier commerçant du centre de Paris.

Qu’en est-il ?

  En septembre 2018, Esteban Morillo et Samuel Dufour sont condamnés respectivement pour « coups mortels aggravés » à onze ans et sept ans de prison ferme, tandis qu’un troisième militant fasciste est acquitté. Esteban Morillo avait reconnu avoir porté les coups mortels et Dufour a été condamné pour port d’une « arme par destination ». Esteban Morillo et Samuel Dufour font appel. Le 7 novembre 2018, soit 55 jours après avoir été condamné, Esteban Morillo est remis en liberté sous contrôle judiciaire en attendant le procès en appel. La justice a comme d’habitude joué son rôle. Elle, si prompte à mettre en prison les gilets jaunes, les personnes racisées et les étranger.e.s laisse traîner des années cette affaire.

  8 années ont passé et peu de choses ont changé. Entre la montée du discours du Rassemblement National (ex FN) qui devient un des seuls contre-discours « de large audience » contre Macron, la violence islamophobe quasi quotidienne et la banalisation des propos racistes dans les médias, nous ne pouvons que constater que les fascistes continuent de déverser leur haine et leur violence. L’État et les institutions continuent de se servir de ce discours pour servir leurs intérêts. La dernière loi portant sur les dits « séparatismes » en est la parfaite illustration. Interdiction du port du hijab pour les mères accompagnatrices, interdiction du burkini dans les piscines et espaces de baignade publics, interdiction de port de signes religieux pour les mineures dans l’espace public… autant d’offensives réactionnaires dans cette loi qui accuse et instrumentalise l’Islam, en instaurant toujours plus de restrictions, de contraintes et d’obligations pour les personnes musulmanes – notamment pour les femmes – faisant d’elles des ennemies de l’intérieur et allant à l’encontre des principes de liberté de conscience. L’ampleur est si forte qu’une campagne pour la dissolution de l’UNEF, pour avoir organisé en son sein des réunions non mixtes, a été mise en place. Alors que la violence raciste et islamophobe atteint son paroxysme, peu de voix s’y opposent publiquement.

  Ces dernières années, cette forte offensive culturelle et médiatique prend de l’ampleur, banalisant l’extrême droite comme une réponse légitime à la crise économique, politique et sociale qui vient. La crise du capitalisme que nous traversons va laisser encore plus place à l’apparition et au développement de partis ouvertement fascistes et néonazis. Clément était un garçon qui croyait fermement en l’égalité et la justice sociale. Il détestait le racisme, l’homophobie, la violence d’Etat ; c’est un camarade qui avait décidé, suivant ses principes, de lutter contre le fascisme idéologiquement comme dans la rue. Et nous savons qu’il avait bien raison. On ne doit pas laisser la possibilité à l’extrême droite de s’implanter. Il n’y a pas de “liberté d’expression”, de “liberté de parole” pour ceux qui nient toutes ces libertés. Pas de tolérance pour l’intolérance.L’extrême droite, malgré sa banalisation, reste un poison qui amène la violence, comme il y a quelques années avec l’ancien militant RN qui avait fait un attentat contre la mosquée de Bayonne. Plus récemment, on a vu des groupuscules d’extrême droite qui n’ont pas hésité à attaquer la librairie de la plume noire il y a quelques semaines à Lyon, les intermittents dans le théâtre d’Orléans, et même l’action française a organisé l’envahissement du conseil régional d’Occitanie. On peut aussi parler de l’appel des militaires, diffusé par le journal d’extrême droite valeurs actuelles, qui bénéficie évidemment du soutien immédiat de Marine le Pen.

  Deux choix de société s’offrent à nous aujourd’hui : celui de l’individualisme, de l’exploitation, de l’oppression, ou bien celui du partage, des solidarités, de l’égalité et de la liberté. Chaque jour, nous subissons les coups de ceux qui voudraient nous maintenir au sol. Alors redressons-nous et relevons la tête ! Plus que jamais, sur le terrain, dans les quartiers, dans les entreprises, sur nos lieux d’études, nous lutterons, sur le plan politique, sur le plan syndical, social et humain, contre les idées de l’extrême droite et de ses alliés. Rendons hommage à Clément, continuons le combat.

Seule la lutte paie.

Confédération Nationale du Travail 31, Collectif Populaire Contre l’Etrême Droite, Groupe Libertad de la Fédération Anarchiste, Nouveau Parti Anticapitaliste 31, Solidaire 31, Toulouse Anti-CRA, Union Antifasciste Toulousaine, Union des Étudiant.e.s de Toulouse

https://unionantifascistetoulousaine.wordpress.com/2021/06/14/samedi-19-journee-antifasciste/

Journée mondiale des réfugié⋅e⋅s

Collectif 20 juin Toulouse

Après une édition 2020 intégralement en ligne, nous sommes ravis de pouvoir vous retrouver dans les rues de Toulouse pour la 5ème édition de la Journée Mondiale des Réfugié·e·s, que Guillaume MEURICE nous fait l’honneur de parrainer.

Cet événement festif et symbolique vise à promouvoir l’accueil digne, chaleureux et bienveillant de toute personne venant d’ailleurs. Face à des visions souvent négatives et erronées, l’objectif est de changer les regards, de dépasser les préjugés, afin de favoriser la rencontre. 20 Juin, Journée Mondiale des Réfugié·e·s…

Décrétée en décembre 2000 par une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, la Journée Mondiale des Réfugié·e·s est célébrée chaque année le 20 juin partout dans le monde. Cette date a été choisie pour coïncider avec la Journée du réfugié africain qui préexistait.

La Journée Mondiale des Réfugié·e·s est l’occasion de rendre hommage aux personnes qui ont dû tout fuir, de saluer leur force, leur résilience et leur courage pour reconstruire leur vie en sécurité.

Nous célébrons cette année les 70 ans de la Convention de Genève de 1951 relative au statut des réfugiés, qui constitue encore aujourd’hui la pierre angulaire du droit international des réfugiés.

Au programme de cette 5ème édition…

Cette année, le Collectif 20 Juin Toulouse vous propose :

  • Du 14 au 20 juin 2021 : Campagne virtuelle « Les 70 ans de la Convention de Genève relative au statut des réfugiés. Pendant une semaine, différents quizz, podcasts et reportages seront publiés sur notre page Facebook
  • Le 17 juin 2021 : Table-ronde « Les violences de la procédure de demande d’asile et son incidence sur les droits humains ». Cette table-ronde prendra place dans l’auditorium du Musée des Abattoirs, partenaire du Collectif, le jeudi 17 juin entre 17h et 18h30. Elle sera enregistrée et retransmise par la suite sur notre page Facebook.

Intervenant·e·s :

  • Julien BREL, Avocat inscrit au barreau de Toulouse
  • Jamal SAMANI, Psychiatre originaire de Syrie
  • Thomas COUDERETTE, Membre du CEDIS et de l’Agence Intercalaire
  • D’autres intervenant·e·s à confirmer…

Inscription obligatoire : https://www.helloasso.com/associations/collectif-20-juin-toulouse/evenements/table-ronde-violence-de-la-procedure-de-demande-d-asile-et-droits-humains

  • Le 20 juin 2021 : Déambulation festive. Nous vous proposons de nous rejoindre à 16h sur la place Saint-Pierre pour une déambulation festive. Nous marcherons ensemble jusqu’au Quai de l’exil républicain espagnol pour finir en musique !

COLLECTIF 20 JUIN TOULOUSE collectif20juintoulouse@gmail.com https://www.facebook.com/Collectif20JuinTlse/